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islamisation de la france - Page 6

  • La loi El Khomri sur le travail projette d’implanter l’Islam dans les entreprises

     

     

    prierautravailreligion

    La révolution islamique poursuit son chemin sur le principe: ôte-toi de là que je m’y mette. les lois sur la séparation de l’Église et de l’État, ne concernent en rien l’Islam: tout ce qui était interdit aux catholiques va maintenant être permis aux musulmans. Et quoi de plus naturel que ce soit Myriam El-Khomri qui promeuve cette révolution dans la Révolution à travers sa loi sur la réforme du travail ?

    Il est un autre article de cette loi, qui rase silencieusement les murs de l’actualité sans que beaucoup de gens n’y prêtent attention, alors qu’il annonce un danger social majeur. (…) Il est en effet une ombre au futur tableau sociologique national, pour le moment discrète mais lourde de présage, c’est l’article 6 :
    « la liberté du salarié de manifester ses convictions, y compris religieuses, ne peut connaître de restrictions que si elles sont justifiées par l’exercice d’autres libertés et droits fondamentaux ou par les nécessités du bon fonctionnement de l’entreprise et si elles sont proportionnées au but recherché ».
    Que conclure de précis de ce charabia à la nébulosité sans doute intentionnelle ? Eh bien que ça promet comme perspective de vie sociale et inter-communautaire à l’intérieur des usines et entreprises, attendu le zèle religieux qu’il serait difficile de ne pas avoir constaté chez les musulmans, lesquelles bonnes gens peuplent et vont bientôt dominer le personnel du secteur secondaire.
    Ah, oui, ça ça promet… (Source Mediapart)

    Eric Zemmour dans le Figaro, sous le titre « le Grand remplacement, fantasme ou réalité? » commente à propos de cet article qui fait implante l’Islam dans les entreprises:

    « tous ceux qui résistaient encore au tapis de prière dans les salles de réunion, aux « non je ne serre pas la main des femmes », aux revendications de congés pendant le Ramadan, au halal à la cantine; tous ceux qui, patrons, DRH, contremaîtres, collègues, s’efforçaient encore de faire respecter la conception française de la laïcité (…) pourront aller se rhabiller devant les juges.

    Dans un communiqué de presse sur la loi El-Khomri, Marine Le Pen s’indigne:

    On est en outre frappé par l’incroyable blanc seing que donne le projet de loi aux revendications religieuses et communautaristes qui posent pourtant déjà d’énormes problèmes à beaucoup de chefs d’entreprise confrontés à des demandes inacceptables dans un pays supposé laïc. Au contraire il faut affirmer beaucoup plus solidement la laïcité dans l’entreprise.

    Quand donc cessera-t-on de nous bassiner avec une laïcité qui dans les faits est complice de la propagation de l’Islam  et de la disparition du christianisme en France? Une laïcité que certains, à bon escient, nomment l’allahïcité. C’est au nom de la laïcité que les mosquées s’élèvent partout avec les écoles coraniques, et que les signes du christianisme disparaissent avec le paysage, la civilisation et les mœurs qui faisaient la France.

     

  • Réveil chrétien face à l'islam .


     Après une forme de « sommeil » durant le XIXe et une partie du XXe siècle, l'islam s'est réveillé et a repris son vieux rêve de conquête du monde. Pour rester dans le « politiquement correct », il faudrait appeler « islamisme » cette visée expansionniste, qui passe souvent aujourd'hui par le terrorisme, afin de la distinguer d'un islam qui, lui, serait une « religion de paix et d'amour ». Cette distinction est factice car l'islamisme, s'il est un fruit vénéneux de l'islam que certains musulmans rejettent, n'en est pas moins une conséquence logique des textes où Mahomet lui-même prêche le djihad et l'asservissement des « infidèles ».

    Cette montée progressive de l'islam, liée dans nos pays à une immigration voulue par nos gouvernants et venue du Maghreb et de l'Afrique noire, représente un danger mortel pour la civilisation chrétienne.

    Des politiciens aveuglés ou franc-maçons sont complices de cette menace de submersion ; un clergé conciliaire naïf, voire « collaborationniste », prête trop souvent la main à cette capitulation. Pourtant, les rêves de coexistence pacifique sont clairement démentis par l'histoire : le mahométisme tend de lui-même à obtenir le pouvoir dès que ses membres sont assez nombreux, notamment parce qu'il ne fait aucune distinction entre le religieux et le politique.

    Il y a donc réellement motif à s'inquiéter pour l'avenir de notre France chrétienne. Cependant, il faut bien comprendre que si les armes pour se défendre de ce péril toujours plus grave comportent une dimension politique, policière, militaire, il est illusoire de croire que, par ces seuls moyens naturels, on édifiera un barrage vraiment efficace. L'islam est une foi, une conviction : on ne peut s'y opposer sur le long terme que par une autre foi, plus vraie et plus vive. Nous sommes en présence de bien plus qu'une « guerre de civilisation » : nous vivons une authentique guerre de religion.

    Un responsable musulman a récemment proposé de confier des églises aux musulmans pour en faire des mosquées. Une légitime indignation a traversé notre pays, une pétition a recueilli des signatures prestigieuses. Mais le problème est réel : si des dizaines de milliers d'églises restent quasi inoccupées, comment imaginer que la tentation ne revienne pas, toujours plus forte, d'en faire profiter des foules de musulmans fervents, qui sont aussi des électeurs et des consommateurs ?

    L'apostasie de la France et de l'Europe est le terreau où poussent immanquablement les racines de l'islamisme et, à tout le moins, de l'islam conquérant. La tiédeur des chrétiens ne peut qu'encourager une religion naturellement prosélyte, comme le malthusianisme des Occidentaux constitue un appel d'air irrésistible pour les peuples encore féconds. La vraie réponse à l'islam, la seule qui ne soit jamais vaincue ni dépassée, c'est donc une foi catholique ardente, forte et missionnaire. Cette foi doit irriguer les comportements des peuples chrétiens, et contribuer à la conversion des peuples musulmans. Il ne s'agit pas seulement de rester sur la défensive, d'essayer de conserver les derniers lambeaux de la civilisation chrétienne. Il s'agit bel et bien de faire revivre le christianisme, un christianisme plus rayonnant, plus ardent, plus conquérant que l'islam aujourd'hui.

    On dira volontiers que c'est utopique et impossible. Mais, d'abord, la grâce de Dieu est aussi puissante aujourd'hui qu'hier. Si don Juan à Lépante, si Jean Sobieski à Vienne, si saint Jean de Capistran à Belgrade ont réussi à vaincre de puissantes armées musulmanes par le secours de Dieu, pourquoi n'en serait-il pas de même aujourd'hui, si nous avions une foi aussi fervente qu'eux ? Ensuite, s'il n'est pas certain que nous gagnerons à tous les coups en travaillant à ce réveil chrétien, il est absolument certain que nous perdrons tout en restant dans la mollesse, le laisser-aller et la tiédeur.

    Les chrétiens d'Orient, habitués à vivre sous le joug de l'islam, et qui pourtant subissent depuis de longs mois des persécutions plus fortes qu'à l'accoutumée, nous en ont prévenus par la bouche de Mgr Amel Shimon Nona, archevêque catholique chaldéen de Mossoul (Corriere della Sera du 9 août 2014) :

    « Nos souffrances actuelles sont le prélude de celles que vous, les Européens et les chrétiens occidentaux, allez souffrir dans un proche avenir. (...) Vous êtes aussi en danger. Vous devez prendre des décisions fortes et courageuses, même si elles contredisent vos principes. (...) Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas ceci très vite, vous allez devenir les victimes de l'ennemi que vous allez accueillir chez vous. »

     

  • Enquête sur le coran et les musulmans de france ...

    Le Coran d’abord !

     
    Alors que responsables politiques et religieux, largement relayés par les médias, nous répètent inlassablement depuis des mois qu’il faut à tout prix se garder de faire l’amalgame et que les islamistes ne sont pas représentatifs de la communauté musulmane, le Berlin Social Science Center vient de rendre publique une étude assez édifiante, aux termes de laquelle il apparaît que, pour une majorité écrasante de musulmans français, non seulement il n’existe qu’une seule interprétation du Coran, mais qu’en outre celle-ci doit primer sur la loi française.

    La France en tête?

    Lors de cette enquête, le Berlin Social Science Center a demandé à quelque 9 000 musulmans et chrétiens dans six pays de l’Union européenne (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, France, Suède et Autriche) de répondre par « oui » ou par « non » aux trois affirmations suivantes :

    1/ Les musulmans doivent retourner vers les racines de la foi ;

    2/ Il n’y a qu’une seule interprétation du Coran. Chaque musulman doit s’y tenir ;

    3/ Les règles religieuses sont plus importantes que les lois.

    Et les résultats, publiés récemment par le Journal of Ethnic and Migration Studies, sont pour le moins édifiants. Ainsi, à la première affirmation, 61,4% des musulmans français ont répondu par « oui », contre 66,1% des Belges, 65% des Autrichiens, 54,5% des Néerlandais, 49,9% des Allemands et 43,4% des Suédois.
    Mais plus révélatrices encore sont les réponses apportées aux deux autres affirmations : pas moins de 81,7% des musulmans français ont en effet estimé qu’il n’y avait qu’une seule interprétation du Coran et que chaque musulman doit s’y tenir (contre 82,2% des Belges, 79,1% des Autrichiens, 74,3% des Néerlandais, 67,4% des Suédois et 57,1% des Allemands). Quant à savoir si les règles religieuses sont plus importantes que les lois, les musulmans français arrivent en tête avec 73,2% de réponses positives, contre 73,1% chez les Autrichiens, 70% chez les Néerlandais, 69,6% chez les Belges, 52,1% chez les Suédois et 45,1% chez les Allemands.

    Regard positif envers l’EI

    Des résultats qui mettent sérieusement à mal le discours officiel selon lequel les islamistes seraient ultra minoritaires et non représentatifs des musulmans.
    Des résultats à rapprocher aussi de ce sondage qui avait été réalisé en juillet dernier par ICM Research pour l’agence de nouvelles russe Rossiya Segodnya parmi 1 000 personnes âgées de plus de 15 ans dans plusieurs pays européens, et enregistrait « jusqu’à 15%  » de Français affirmant avoir un regard positif envers l’Etat islamique. Là encore, ce soutien français était le plus élevé parmi tous les pays interrogés dans le cadre de ce sondage, les Anglais étant 7% à approuver les actions de l’Etat islamique et les Allemands seulement 2%. Pire encore : ce sondage soulignait que chez les jeunes Français de 18-24 ans et 25-34 ans, le soutien à l’EI atteignait respectivement 27% et 22% !
     
    Soumission

    L'Union des démocrates musulmans français (UDMF) présentera des candidats dans 8 cantons (sur 2000) lors des élections cantonales de mars prochain : Bobigny (Seine-Saint-Denis) Bagneux (Hauts-de-Seine), Les Mureaux (Yvelines), Marseille, Lyon, Nice et Strasbourg. Elle possède déjà un premier élu à Bobigny après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l'actuel maire UDI Stéphane de Paoli. Najib Azergui, d'origine marocaine, se défend de vouloir «islamiser la société» ou de vouloir «installer la charia en France». 
    L'UDMF préconise le développement de l'industrie alimentaire Halal pour relancer l'emploi et le recours à la finance islamique pour assainir l'économie. Le parti veut autoriser le port du voile dans les établissements scolaires...